Eh non, je n'ai pas fait mon gâteau au fromage.
J'ai manqué de temps et en plus, je n'avais rien acheté pour concrétiser ma recette.
Alors, pas de gâteau au fromage dans ma bédaine!
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Mini-Dentier élabore tranquillement pas vite pantoute son vocabulaire. Maman, Papa. On a eu une période de Bobby. J'ai essayé de lui apprendre "Jésus!!!" (dit avec une Foi inébranlable) pour son baptême et il le répète parfois joyeusement. On a droit à un baragouinage Aga et Aba pour ses frères respectifs. Il dit non, mais fait oui de la tête.
Les concepts ne sont pas toujours faciles à assimiler.
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Chantage!
Ma mère a le don de me faire filer cheap. Même si à chaque fois, je me dis que je ne me fera pas avoir une autre ostie de fois, ben elle réussit toujours.
Topo:
Moi et Amie-Célibataire devons aller chez ses parents dans les profondeurs de Mistassini festoyer l'anniversaire de sa mère avec beaucoup de boisson.
Mon père, que je ne vois pas souvent, doit retourner dans ses hauteurs nordiques dans une dizaine de jours. Je ne pourrai le voir avant son départ, à moins d'annuler ma beuverie en fin de semaine.
Mais bien sûr, ma mère a le don de me faire sentir pois chiche et de me beurrer épais que je ne le vois dont jamais mon père et qu'on pourrait aller, en famille, passer le weekend chez mes parents.
Mais ma fin de semaine à moi? Mon échapatoire? Ma première fin de semaine complète sans enfant et sans chum depuis 2 ans, il se passe quoi avec?
Kossé je fais? Je suis hyper égoïste et je vais me saouler ou bien je vais rendre visite à mon père, profiter un peu de sa présence, avant son retour en mai ou juin prochain... si c'est pas juillet (encore une goutte pour beurrer épais...).
Ma mère m'a clairement fait comprendre dernièrement que le gardiennage d'enfant, elle le fait au mérite. J'en fais beaucoup pour mes parents, je suis toujours prête à les aider, je les aime beaucoup, mais j'en ai ma claque du chantage.
J'ai décidé de partir dans une autre ville, et je sais que ma mère est déçue de me voir si loin, mais câline, j'ai juste une vie à vivre. Je sais que des fins de semaine avec Amie-Célibataire, je peux me reprendre, mais câlysse, ça adonne pas toujours. Pas toujours évident de conjuguer mon horaire avec 3 enfants, des parents qui restent loin, des amis qui restent loin, les activités sportives des tits-gars, les party de fête d'anniversaire, des sorties en amoureux (j'en ai plus depuis un bout ça aussi, la dernière, ça été 30 minutes pour signer des papier pour un compte conjoint), le ménage, le lavage. Le timing était bon, sacrement, pour que je quitte ce weekend.
Mais je sais que si je pars, toute la fin de semaine, je vais penser à mon chum, mes enfants, et mon père que je vais avoir l'impression d'abandonner.
Pis si je pars pas, ben c'est à moi que je tourne le dos.
J'aimerais ça dire que la décision est facile à prendre, mais c'est pas vrai pantoute, dans un sens ou dans l'autre, je vais me décevoir et je vais décevoir du monde.
*****
En plus, j'ai annulé ma coiffeuse pour samedi matin... snif...
Les concepts ne sont pas toujours faciles à assimiler.
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Chantage!
Ma mère a le don de me faire filer cheap. Même si à chaque fois, je me dis que je ne me fera pas avoir une autre ostie de fois, ben elle réussit toujours.
Topo:
Moi et Amie-Célibataire devons aller chez ses parents dans les profondeurs de Mistassini festoyer l'anniversaire de sa mère avec beaucoup de boisson.
Mon père, que je ne vois pas souvent, doit retourner dans ses hauteurs nordiques dans une dizaine de jours. Je ne pourrai le voir avant son départ, à moins d'annuler ma beuverie en fin de semaine.
Mais bien sûr, ma mère a le don de me faire sentir pois chiche et de me beurrer épais que je ne le vois dont jamais mon père et qu'on pourrait aller, en famille, passer le weekend chez mes parents.
Mais ma fin de semaine à moi? Mon échapatoire? Ma première fin de semaine complète sans enfant et sans chum depuis 2 ans, il se passe quoi avec?
Kossé je fais? Je suis hyper égoïste et je vais me saouler ou bien je vais rendre visite à mon père, profiter un peu de sa présence, avant son retour en mai ou juin prochain... si c'est pas juillet (encore une goutte pour beurrer épais...).
Ma mère m'a clairement fait comprendre dernièrement que le gardiennage d'enfant, elle le fait au mérite. J'en fais beaucoup pour mes parents, je suis toujours prête à les aider, je les aime beaucoup, mais j'en ai ma claque du chantage.
J'ai décidé de partir dans une autre ville, et je sais que ma mère est déçue de me voir si loin, mais câline, j'ai juste une vie à vivre. Je sais que des fins de semaine avec Amie-Célibataire, je peux me reprendre, mais câlysse, ça adonne pas toujours. Pas toujours évident de conjuguer mon horaire avec 3 enfants, des parents qui restent loin, des amis qui restent loin, les activités sportives des tits-gars, les party de fête d'anniversaire, des sorties en amoureux (j'en ai plus depuis un bout ça aussi, la dernière, ça été 30 minutes pour signer des papier pour un compte conjoint), le ménage, le lavage. Le timing était bon, sacrement, pour que je quitte ce weekend.
Mais je sais que si je pars, toute la fin de semaine, je vais penser à mon chum, mes enfants, et mon père que je vais avoir l'impression d'abandonner.
Pis si je pars pas, ben c'est à moi que je tourne le dos.
J'aimerais ça dire que la décision est facile à prendre, mais c'est pas vrai pantoute, dans un sens ou dans l'autre, je vais me décevoir et je vais décevoir du monde.
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En plus, j'ai annulé ma coiffeuse pour samedi matin... snif...
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